La Santé Confisquée
Publié il y a plus de vingt ans, ce livre reste d'actualité par l'originalité de son contenu. Monique et Mirko Beljanski y décrivent les résultats positifs qu'ils ont pu obtenir, grâce à 40 années de recherche, dans le traitement du cancer et du sida. Un livre utile dont la lecture a déjà sauvé de nombreuses vies.
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Publié il y a plus de vingt ans, ce livre reste d'actualité par l'originalité de son contenu. Monique et Mirko Beljanski y décrivent les résultats positifs qu'ils ont pu obtenir, grâce à 40 années de recherche, dans le traitement du cancer et du sida. Un livre utile dont la lecture a déjà sauvé de nombreuses vies.
J’enrage ! Parce que des enfants meurent chaque jour, que nous pourrions aider, parfois sauver, parce que des cancéreux aux tumeurs résistantes peuvent être traités autrement, parce que la qualité de la vie des gens traités par les seules méthodes classiques peut facilement être améliorée, parce que les ” sidéens ” meurent dans le désespoir alors qu’on peut en sauver un bon nombre, parce que tout est entravé, non parce que cela ne marche pas, non parce qu’il y a des effets secondaires nuisibles, pas même cela : uniquement parce qu’il y a un système et des mandarins, des clans puissants qui s’opposent à notre projet. Sur le plan humain, c’est horrible. Sur le plan collectif, c’est superbement imbécile.”
Depuis plus de 25 ans, les produits découverts par le biologiste Mirko Beljanski permettent la survie des patients déclarés perdus, ou l'amélioration sensible de leur état, qu'il s'agisse de cancer, de sida ou de maladies auto-immunes.
Monique et Miko Beljanski ont œuvré pendant 25 ans à l'Institut Pasteur, où ils ont eu "tort d'avoir raison" face à leur supérieur, le prix Nobel Jacques Monod. Contraints de prendre leurs distances avec le système, ils ont poursuivi leur travail grâce au mécénat de médecins et patients enthousiastes, non sans dénoncer ouvertement les lobbies de la communauté des chercheurs et de l'industrie pharmaceutique.
Aujourd'hui, le monde scientifique marche dans leurs pas, redécouvrant nombre de leurs découvertes. Sans les citer bien évidemment. Quatrième édition mise à jour et augmentée d'un livre qui a connu lors de sa sortie un grand succès.
ISBN-13 | 978-2813202505 |
Éditeur | Guy Trédaniel, Paris Parution |
Date de sortie | 13/09/2001 |
Pages | 310 |
Le Dr Mirko Beljanski a été l’un des premiers biologistes moléculaires à étudier les ARN qui jouent un rôle dynamique dans la régulation de la cellule. Pendant plus de 30 ans, il étudia plus particulièrement le fonctionnement de I’ADN et de I’ARN et fit de nombreuses découvertes.
Il découvrit par exemple que la transcriptase inverse existe non seulement dans les virus, mais aussi dans d’autres organismes comme les bactéries, les champignons et les poissons. En 1960, Mirko Beljanski obtenait le prix Charles Léopold Mayer, décerné par l’Académie des Sciences, pour ses travaux sur l’ARN.
Dès 1975, Mirko Beljanski avait démontré que toute molécule possédant un potentiel cancérogène déstabilisait l’ADN des cellules cancéreuses et stimulait la synthèse de ces ADN. Il mis aussi au point l’Oncotest, un test biochimique d’évaluation de l’impact des molécules de l’environnement sur le fonctionnement des gènes ; et surtout, proposa une nouvelle vision de la cancérogenèse qui s’est trouvée confirmée, lorsqu’il a montré que des extraits naturels avaient la propriété d’inhiber la synthèse des ADN cancer et non celle des ADN sains.
C’est pendant cette période exceptionnellement fructueuse qu’il mit au point quatre extraits : trois extraits spécifiques réalisés à partir de Pao Pereira, de Rauwolfia Vomitoria, et de Ginkgo biloba, ainsi et des ARN-fragments très prometteurs. Mirko Beljanski a également montré que l’un des produits, le Pao Pereira (Geissospermum Vellosii), possède un large spectre antiviral. Il s‘est alors penché sur la lutte contre le VIH, virus du Sida. À partir de 1988, Mirko Beljanski s’est installé au Centre de Recherche Biologique (CERBIOL) de Saint Prim, près de Lyon, où il perfectionna ses extraits et protocoles d’utilisation.
Son ingéniosité lui permit de poursuivre ses recherches et de publier 133 articles dans des revues scientifiques à comité de lecture. Au cours des années suivantes, un nombre croissant de médecins écrivirent à Mirko Beljanski pour obtenir ses produits pour leurs patients et en faire l’éloge.
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Monique Beljanski est née à Paris dans une famille composée de nombreux scientifiques. Son père, le professeur et physicien Auguste René Lucas, fut directeur de l’École supérieure de physique et de chimie industrielles de la ville de Paris de 1947 à 1968, professeur titulaire de chaire de physique générale à la faculté des sciences de l’université de Paris de 1956 à 1968 et membre de l’Académie des sciences. Sa grand-mère, Pauline Ramart, fut la seconde femme après Marie Curie à être nommée professeur de chimie organique à la Sorbonne.
À 19 ans, elle rencontre Mirko Beljanski, alors jeune chercheur en biologie. Monique et Mirko tombent rapidement amoureux et se marient au cours d’une cérémonie traditionnelle en Yougoslavie. De leur union naîtront deux enfants, Boris et Sylvie Beljanski.
En 1953, Monique rejoint son mari à l’Institut Pasteur en qualité d’ingénieur d’études au CNRS où le jeune couple se lance dans un travail de recherche sous la direction du Professeur Macheboeuf, directeur de Thèse de Mirko.
A cette équipe se joignent Liliane Le Goff et Michel Plawecki, tous deux docteurs d’Etat ès sciences. Par la suite, l’équipe s’installe dans les locaux de la Faculté de Médecine de Chatenay-Malabry, où Mirko Beljanski, Directeur de recherches au CNRS, dirigera les travaux de ce groupe durant une dizaine d’années.
Monique Beljanski participe étroitement à toutes les étapes des travaux de son mari y compris ses nombreuses publications scientifiques, livres et articles dont elle est co-auteur.
Depuis la disparition de son mari en 1998, elle poursuit inlassablement un travail de sensibilisation à travers des conférences en Europe afin de mieux faire connaître l’approche Beljanski, en particulier la sélectivité d’action et l’absence de toxicité des extraits de plantes découverts par Mirko Beljanski.
Monique Beljanski est membre du Conseil d’Administration de l’Association CIRIS et Présidente de la Fondation Beljanski.
« Je », dans ce livre, c'est « nous » dans la vie. Nous avons mis en commun nos irritations, nos colères, nos rancunes, notre amusement, notre ardeur à la tâche et notre toute relative médisance.
Ce livre retrace le combat d'un couple pour arracher à la science des parcelles de nouveauté, pour apporter certaines solutions médicales là où la médecine baisse les bras, pour sauvegarder une indépendance intellectuelle sans cesse menacée. Il dévoile ainsi les difficultés et entraves multiples qui jalonnent la vie d'un chercheur pour peu qu'il tente de servir la science, l'objectivité des faits et non un système en équilibre dont la finalité consiste à se maintenir et à conserver certains avantages.
Il critique le corps médical et scientifique, des « responsables de haut niveau », un système ; il critique aussi les malades dans leur inconséquence ou leur instabilité ; il critique le chercheur qui sait trouver mais ne sait pas faire savoir ce qu'il sait, faire admettre ce qu'il peut.
Mais il veut aussi attirer l'attention du lecteur sur le problème de la science dans le monde contemporain : problème de diffusion, d'information, problème politique, problème éthique enfin et surtout.
Ce premier livre présente les principes d'action et toute la réflexion scientifique ayant permis d'aboutir aux "produits Beljanski". A sa publication, le biologiste sera invité sur de nombreux plateaux de télévision et interviewé par de nombreux médias, mais l'appareil judiciaire, soumis à l'ordre établi et à de gros enjeux financiers, ne laissera aucune chance au chercheur indépendant.
Mais pour le chercheur-gêneur, "Lorsque nous avons le pouvoir d'aider, nous avons le devoir de le faire".
Pour avoir eu ce courage Mirko Beljanski a vu sa parole confisquée, le 28 juin 1996, par une ordonnance judiciaire lui interdisant de s'exprimer sur ses découvertes scientifiques par quelques moyens que ce soit : écrit, conférences, émissions radios diffusées ou télévisées. Et son laboratoire fut saccagé par le GIGN.
En effet, les extraits mis au point par Mirko Beljanski permettent depuis plusieurs années la survie de malades déclarés perdus, ou l’amélioration très nette de leur santé, qu’il s’agisse de cancer, de sida ou de maladies auto-immunes.
Mais ces découvertes sortent difficilement de l'ombre et malgré de nombreuses publications scientifiques à comité de lecture, malgré de nombreuses conférences et malgré le soutien de plus en plus de patients et de professionnels de santé, un mur se dresse face à lui.
Trente ans après, le monde scientifique redécouvre ou confirme nombre de leurs découvertes.